Ile du Sud : troisième et dernière partie.

12 août 2012

Bonjour, bonjour,

Juste quelques nouvelles avant de rentrer en France. Nous nous étions, la dernière fois, arrêté juste avant Queenstown. Cette ville est aussi une station d’après-ski mais plus huppée, située à environ 1h30 de route au sud de Wanaka. De nombreux magasins, de nombreux bars et de nombreuses autres attractions y ont élus domicile. L’après-midi de notre arrivée nous nous sommes tout simplement baladées dans la ville et avons justement profité de toutes ces attractions. Le lendemain matin, départ 6h30 pour aller visiter le Milford Sounds, situé à 4 heures de bus de Queenstown sur la côte ouest. Avant d’arriver dans ce fjord et d’y faire une croisière, nous sommes passés par la ville de Te Anau, puis par le parc national du Fiorland avec les Mirror Lakes, reconnus au patrimoine de l’Unesco. Ensuite, nous avons fait deux heures de croisières dans le fjord où nous avons pu voir des phoques et des pingouins (ou manchots) au milieu de superbes paysages.

Le lendemain, direction le Lake Tekapo, situé pl us en altitude à environ 4 heures de bus de Queenstown, au nord-est. Avant d’y arriver nous nous sommes arrêtés dans des villes telles que Cromwell, connue pour ses vergers, ou bien Geraldine, où il y a une grande communauté agricole. Nous sommes aussi passés à côté du Lake Pukaki où juste à proximité il y a des élevages de saumons. Une fois arrivés au Lake Tekapo, nous avons décidé de grimper jusqu’au Mount John pour avoir une magnifique vue sur les lacs et les sommets enneigés. Oui enneigés car nous avons marchés dans la neige pour y accéder, une très bonne surprise, surtout avec le soleil..balade magnifique.

Enfin pour la dernière journée dans l’île du Sud (ou presque), nous avons été à Christchurch. Ici nous avons découvert un centre-ville complètement mort puisque les bâtiments détruits ou endommagés suite aux tremblements de terre de 2010 n’ont pas été reconstruits pour la plupart. Ainsi, il y a toute une zone rouge où personne ne peut entrer par mesure de sécurité car les bâtiments pourraient s’écrouler. Se balader dans la ville était donc une sensation assez étrange, comme si le temps s’était arrêté.